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Amérique du Sud - 3 nouvelles par monTdM du 03/09/2016 au 12/08/2017
Passage du Panama vers la Colombie - par monTdM le 16/06/2016
Amérique centrale - 4 nouvelles par monTdM du 09/03/2016 au 10/05/2016
Panama - par monTdM le 10/05/2016
Tout en me dirigeant vers la frontière du Panama, je fais plusieurs arrêts, la première fois pour me débarrasser de ma monnaie du Costa Rica et les suivantes pour essayer de trouver un distributeur fournissant des dollars, monnaie officielle du Panama. Mais après avoir fait plusieurs banques qui avaient des logos signalant qu'elles en distribuaient, toutes semblent à sec et j'arrive finalement à la frontière sans un sou en poche. Heureusement il y a ici ce qu'il faut et je peux refaire le plein de billets. Il y a un nombre impressionnant de gens notamment beaucoup de jeunes avec un sac à dos. La sortie du Costa Rica est longue : une demi-heure pour remplir un formulaire, payer un droit de sortie et avoir le visa de sortie puis pour faire annuler mon permis d'importation temporaire pour la voiture. Cela fait 3 mois et un jour que je suis entré au Guatemala alors je crains une remarque (voir la nouvelle précédente) mais personne n'y fait attention, seul mon visa d'entrée au Costa Rica les intéresse. J'aurai finalement pu rester plus longtemps dans ce dernier pays mais je pense avoir vu l'essentiel et le coût de la vie ne me donnait pas envie de prolonger, je regrette seulement de ne pas avoir visité plus longuement le Nicaragua. L'entrée au Panama me prendra un peu plus d'une heure. Il y a des bureaux partout, une très longue file pour obtenir le visa et cela n'avance pas. Finalement je vois un homme avec un badge et je lui demande si c'est bien par cela que je dois commencer : il me dit non, la première étape est de prendre une assurance pour la voiture et il m'emmène jusqu'à un bâtiment où une société en vend. Je paie pour deux mois de couverture en responsabilité civile. L'homme me conduit ensuite jusqu'à la zone des visas en me disant de griller tout le monde sur la droite : je suis un peu gêné mais pour ceux qui entrent avec une voiture c'est un guichet spécial où il n'y a personne. Une femme récupère mon passeport, mon assurance et en quelques minutes j'ai mon visa. L'homme me fait monter à l'étage, prend par la fenêtre d'un bureau un tampon et donne un coup sur un papier. Puis on redescend et il m'emmène à un dernier guichet pour l'importation temporaire de la voiture. Il m'explique que je ne pourrai avoir qu'un mois et qu'il faudra que j'aille au bureau des douanes de la capitale si je veux prolonger, ce qui ne posera pas de problème selon lui. Ce guichet n'avance pas, il n'y a pas grand monde mais la procédure semble longue pour chaque cas. Au bout d'un moment l'homme revient vers moi, prend mes papiers, passe devant ceux qui font la queue, appelle un douanier à l'intérieur et lui donne mes documents. Je récupère enfin le dernier sésame pour entrer dans le pays. Je dois cependant subir une fouille de la voiture, très succincte et rapide. Je veux évidemment laisser un pourboire à l'homme qui m'a si bien aidé mais il ne me reste qu'un billet de 20 $, hors de question, et un autre de 1 $ qu'il refuse, il en voudrait au moins 5 alors je ne lui laisse rien, je n'ai pas envie de courir après de la monnaie. En entrant dans ce pays je change d'heure et me rapproche un peu de la France (plus que 6 heures de décalage). Je prends la direction du parc national de la Amistad, version panaméenne (voir la nouvelle précédente). Dans une grande ligne droite, un bus qui était arrêté sur le côté de la route redémarre sans regarder au moment où j'arrive à son niveau : je freine d'urgence, donne un coup de volant pour passer sur la file de gauche où il n'y a heureusement personne, le double et donne un grand coup de klaxon. Je m'arrête plus loin pour manger et le bus arrive devant moi, le chauffeur me dévisageant en passant à vive allure. Quand j'arrive près du parc national, je ne vois aucun accès. Il y a un autre parc, celui du volcan Barú : le secteur est un lieu réputé pour son café. Je contourne le volcan et arrive près d'un sentier, celui des Quetzals : l'endroit est réputé pour héberger cette espèce en grand nombre car la forêt contient une variété d'arbres et l'oiseau raffole de ses fruits. Je décide de dormir au démarrage de la randonnée. Juste en face il y a plusieurs couples d'anglais qui louent une maison et viennent là depuis plusieurs années : une des femmes me dira que dans l'arbre sur leur propriété un quetzal vient régulièrement le matin, l'arbre étant justement un de ceux qu'ils aiment. Mais aucun ne viendra pendant mon séjour (ou alors avant que je me lève). Leur jardin est très fleuri et il y a plusieurs colibris qui tournent autour de ma voiture.
Malgré le froid (cela descend à 4°C la nuit, 9° dans la voiture mais je ne mets pas le chauffage), je resterai encore deux jours mais toujours sans rien voir (à part des écureuils), irai à un autre endroit proche sur les conseils d'un des anglais (grande concentration des arbres qu'ils aiment) mais sans succès. Pendant cette période j'ai une multitude de boutons qui sont apparus bizarrement sur l'intérieur des chevilles, l'extérieur des hanches et un peu les pieds : pourquoi n'ai je rien sur les jambes ? J'ai dû me faire piquer par une araignée ou mordre par une fourmi lors de ma marche dans le parc de la Amistad au Costa Rica, cela gratte énormément, je m'en arrache sans le vouloir un ou deux. Finalement ils finiront par partir au bout de quelques jours mais en laissant pas mal de marques.
Je passe une seconde nuit au même endroit mais je n'aurai pas dû car au matin il fait à nouveau un ciel bleu magnifique et ce manque de chance, entre ma recherche du quetzal infructueuse et mon ascension le seul jour où le temps n'était pas terrible, me démoralise un peu.
La route (panaméricaine) entre David et Santiago est une route classique mais des travaux sont en cours sur presque 200 km pour la mettre à 2x2 voies ce qui ralentit sensiblement mon trajet : un chantier surtout de terrassement avec quelques beaux talus et assez peu d'ouvrages. Après Santiago c'est déjà une voie rapide et cela roule bien car il y a peu de monde.
Je reste presque un mois à Panama. J'ai un peu de mal à trouver un bivouac, il y a beaucoup de bouchons en ville donc je préfère ne pas trop m'éloigner pour pouvoir aller rapidement dans des fast-food avec Internet. Ma première nuit est bruyante (proche d'un système de refroidissement d'un centre commercial), la seconde trop loin mais me permet de rencontrer une française travaillant à l'Unicef (je me gare juste derrière sa voiture) et elle me donnera beaucoup de renseignements. Le troisième bivouac est un peu mieux (un court cul-de-sac donnant sur une entreprise commençant tôt le matin) mais je dois le quitter car un soir il n'y a plus de place. Le quatrième sera le bon, un autre cul-de-sac très tranquille dans une rue résidentielle (je changerai juste deux soirs car une fête chez quelqu'un amènera beaucoup de voitures dans la rue). Pendant cette période je cherche du gaz pour mon nouveau réchaud acheté au Guatemala : je trouve dans une chaîne de magasins le réchaud mais sans le gaz et personne ne sait où il y en a jusqu'à ce que je tombe sur un responsable qui m'indiquera, après avoir consulté son ordinateur, une de leurs rares boutiques de la ville qui en a en stock (4 fois plus cher qu'au Guatemala, ils doivent profiter de leur monopole). Je change enfin mon silent-bloc arrière (puisque j'avais acheté la pièce au Costa Rica, voir la nouvelle précédente) chez un garagiste qui me fera un prix raisonnable (25 $ pour plus d'une heure de travail), cela fait plaisir de tomber sur quelqu'un d'honnête. Je dois aller au bureau des douanes pour renouveler mon permis d'importation temporaire mais je ne sais pas où aller (sur leur site Internet il y a une multitude de bâtiments) : le centre des douanes de l'aéroport me donnera l'adresse adéquate. Quand je m'y rends, ils refusent la prolongation car cela n'est possible que le dernier jour du mois et je devrai donc revenir le jour-dit (en fait j'irai l'avant dernier-jour). Une caractéristique de la capitale est le changement d'affectation des voies en fonction de l'heure de la journée : certaines rues sont à deux voies dans un même sens le matin tôt et à partir du milieu de la matinée redeviennent des rues normales avec un double sens de circulation. Ce qui m'étonne c'est qu'il n'y a personne pour gérer cela, les gens doivent avoir l'habitude (il y a juste des panneaux indiquant le basculement de telle heure à telle heure). J'ai aussi vu cela sur une voie rapide, une 2x2 voies qui devient une 1+3 voies avec là beaucoup de policiers pour s'en occuper (ouverture/fermeture du terre plein central pour permettre le passage vers ou depuis la voie de gauche de la chaussée qui est normalement dans l'autre sens et obliger les véhicules allant dans l'autre sens à rester sur une seule voie) : très efficace pour améliorer le flux des voitures arrivant ou partant de la capitale aux heures de pointe mais demandant une organisation (policière) très importante. Les panaméens ne conduisent pas très bien et les taxis très mal : ils prennent des sens interdits s'ils voient qu'il n'y a personne, roulent sur les accotements en terre pour gratter quelques places, veulent tourner à gauche ce qui bloque la circulation alors qu'il y a des panneaux d'interdiction, prennent des files réservées pour tourner alors qu'ils veulent aller tout droit car la file avance bien et au bout ils essaient de s'insérer dans le bouchon ce qui bloque la file derrière eux, etc. Ils doivent avoir une assurance RC (puisque obligatoire) mais pas pour les dommages et je croise tous les jours de véritables épaves qui roulent pourtant toujours (ils manquent parfois une aile, tout l'avant de la voiture, le capot, des pare-chocs sans parler des innombrables creux, bosses et rayures). Un jour un taxi me fait une queue de poisson (j'étais dans ma file, lui arrivait d'un carrefour et il s'insère à quelques centimètres devant moi alors que je roulais) et je ne peux l'éviter, je lui fais une nouvelle (car il en avait déjà beaucoup) éraflure (et lui laissera un peu de jaune sur mon aile). Il sort de la voiture, je lui explique (avec des gestes car il ne parle qu'espagnol) que c'est de sa faute (d'autant qu'il arrivait de la gauche et moi de la droite même si dans ce pays je ne sais pas si cette règle s'applique) puis je fais un crochet avec ma voiture pour partir. Il remonte dans son taxi, me fait une nouvelle queue de poisson m'obligeant à m'arrêter et sort très en colère. Un flic est juste là, il me prend mes papiers et me fait comprendre que j'ai tort même s'il n'a rien vu car on n'est plus dans la même rue de l'accrochage. L'homme continue à parler sans s'arrêter, le policier le calme, il appelle avec sa radio un collègue spécialisé dans le trafic routier (lui est juste un vigile dans un bâtiment administratif) mais personne n'arrive. Finalement un autre policier passe à pied (le hasard fait bien les choses, il est du bon service), veut dresser un constat mais apparemment tout cela l'embête et il met du temps à sortir son carnet, puis son stylo et il n'écrit rien pendant un temps infini. L'homme continue à parler, je lui sors alors la phrase miracle (je ne parle pas espagnol, je lui avais déjà dit mais dans le feu de l'action il n'y avait peut-être pas prêté attention) et il me dit une autre phrase en espagnol où j'entends en anglais "20 $" : je dis ok, part à un distributeur car je n'ai plus rien sur moi, lui donne le billet, on se sert la main avec un "amigo" puis il fait un signe au policier qui me rend mes papiers. Dans le même style où l'honnêteté n'est pas au rendez-vous, en faisant le plein dans une station service, je profite de l'attente pour remplir un de mes jerricans d'eau. Lorsque je reviens à la pompe, l'homme a déjà servi un autre client et la pompe n'indique évidemment plus ce qui m'a été livré. Il me fait payer une somme qui me paraît bien élevée, je demande une facture, il tire toute une liasse de papiers de son ordinateur, jette tout, tape sur son clavier et m'en tend un où c'est indiqué qu'il m'a fournit 90 litres alors que mon réservoir n'en contient que 80 et qu'il n'était pas complètement à sec. Je lui dis que je n'accepte pas cela, il retape sur son clavier et me rembourse l'équivalent de 13 litres ce qui à mon avis est encore loin du compte mais je laisse tomber, le prix du diesel est ridiculement bas au Panama (moins de 0.5 euros) et l'arnaque ne dépasse pas quelques dollars vus les prix pratiqués par les compagnies pétrolières et leur mirobolants bénéfices annuels, il est clair que comme tout le monde ce n'est pas la première fois que je paye trop cher du carburant. Plus gros, je vais acheter une courroie d'accessoires pour ma voiture chez un concessionnaire Toyota, le prix est prohibitif, sur la facture le numéro de la pièce n'est même pas indiqué, ils ont utilisé un code générique, décidément les garagistes sont bien partout pareils, majoritairement des voleurs. Pour terminer sur ce thème, les panaméens aiment customiser leur véhicule avec principalement des avertisseurs et des lumières bien visibles : des feux stop qui font clignoter toutes les lampes normales de l'arrière et des ampoules supplémentaires les unes après les autres comme un sapin de Noël par exemple. La première fois on ne comprend pas très bien que la voiture est en train de freiner mais on s'y habitue. Jusque là rien de trop répréhensible sauf que certains mettent des avertisseurs et des lumières ressemblant à ceux de la police et de nuit, on ne voit pas que le véhicule derrière nous n'est pas de la police alors on se range sur le côté pour les laisser passer.
Quand j'ai fini deux nouvelles de mon site Internet, je regarde comment passer concrètement en Colombie : et là, mauvaise nouvelle. Alors que j'avais croisé plusieurs personnes qui m'avaient dit qu'il y avait un ferry et que mes premières recherches sur Internet semblaient le confirmer, je me rends compte que ce n'est plus le cas depuis presque un an : l'armateur qui avait ouvert la ligne en 2014 n'a tenu que 6 mois, il avait affrété un bateau beaucoup trop gros (500 véhicules deux fois par semaine) et il tournait presque à vide ce qui l'a obligé à arrêter en avril 2015. Je vais donc devoir trouver un cargo porte-conteneurs pour ma voiture et un avion pour moi comme quand je suis allé au Canada et cela ne m'enchante pas vus l'organisation, les coûts et délais nécessaires. En plus je ne sais pas à qui m'adresser car je n'arrive pas à trouver les informations nécessaires, à chaque fois je tombe sur le sens Colombie-Panama et jamais l'autre.
Je me rends ensuite chez Michel, le guide français : on discute beaucoup mais peu sur le sujet qui m'intéresse car en fait il n'a pas d'informations sur les manières d'aller en Colombie. Il m'indique que le quetzal est un oiseau qui change régulièrement d'endroit, qu'en février il était peu probable que j'en vois dans le secteur du volcan Barú car il n'y en avait presque pas mais que maintenant c'est la bonne période car ils nidifient là-bas. On parle aussi du Darien (un autre bien classé à l'Unesco que je n'avais pas l'intention d'aller voir) en m'indiquant que contrairement à ce que dit le ministère des affaires étrangères (la zone est à éviter car les FARC s'y cachent) il n'y a aucun danger. Avant d'y aller je consulterai le blog du guide et me rendrai compte qu'il parlait de la province du Darien (plusieurs articles dessus) alors que ce qui est classé est le parc national du Darien (il n'y est apparemment jamais allé car je n'ai trouvé aucun article dans son blog), que le premier est accessible en voiture et en bateau (sur des rivières) mais que le parc est presque inaccessible sauf à passer plusieurs jours à naviguer en pirogue avant de l'atteindre avec une logistique et un coût hors de propos. Je déciderai donc finalement de ne pas y aller.
Le lendemain soir, je me rends compte que je me suis fait à nouveau mordre par une bête, j'ai une multitude de boutons comme la dernière fois mais limité cette fois-ci aux pieds, chevilles et dans le pli derrière le genou (mais presque rien sur les mollets). En enlevant une de mes chaussettes je découvre une grosse fourmi écrasée sous mon pied, il y en avait plein qui circulaient ou traversaient la piste en longues colonnes et en restant immobile pour prendre des photos certaines ont dû en profiter pour me monter dessus. Je désinfecte pour calmer l'envie de me gratter et devrai attendre plusieurs jours pour que les boutons se transforment en marques encore visibles aujourd'hui presque deux mois plus tard. En cours de route je dors dans le même secteur que lorsque je faisais la route dans l'autre sens, une grande zone de culture de cannes à sucre dont une partie a commencé à être récoltée. Lorsque je repasserai moins d'une semaine plus tard je reconnaîtrai à peine les lieux, tout ayant été coupé. Les travaux entre Santiago et David ont évidemment un peu avancé et cela roule un peu mieux. J'admire notamment les caniveaux installés dans les pentes des plus hauts talus avec de nombreux obstacles (en pierres ou béton) pour ralentir la vitesse de descente de l'eau.
Je bouge un peu pour aller faire une dernière petite marche mais c'est sans intérêts, je suis dans des terres cultivées et je n'arrive pas à trouver de sentier entrant dans le parc national de La Amistad pourtant juste au nord de l'endroit où je suis. Je décide de laisser tomber et repars le lendemain en direction de la capitale. Pendant ces quelques jours la température était nettement meilleure que la fois précédente (12°C au lieu de 4°), il faut dire que j'étais un peu plus bas (bivouacs entre 1600 et 1800 mètres au lieu de 2200). Lorsque j'avais rencontré la française travaillant à l'Unicef à Panama, elle m'avait demandé si j'étais monté sur les montagnes près de Chame ce qui n'était pas le cas. Mais cela m'avait mis la puce à l'oreille d'autant que ces montagnes m'avaient tenté. Je décide donc de faire une nouvelle halte à proximité et de tenter leur ascension. Je n'ai pas repéré de sentier sur Internet alors j'y vais un peu au hasard. Une route à l'ouest ne donne rien, je retourne vers l'est sur la piste que j'avais en grande partie fait à pied. Elle se termine malheureusement moins de 500 mètres après l'endroit où j'avais fait demi-tour et je décide de bivouaquer (de nuit) un peu avant son extrémité.
De retour à la voiture je me décide enfin (l'endroit s'y prête bien) à changer mon filtre à gazole (acheté au Costa Rica). Ce faisant, j'observe qu'il y a pas mal de boue dans la cosse de connexion électrique (que je nettoie) et que le filtre actuel était bien noir. Je vois aussi un tout petit trou sur un des tuyaux qui est raccordé au filtre, je pense que c'est un tuyau d'air donc sans conséquence. Au démarrage la voiture part au quart de tour, j'ai retrouvé ce que j'avais avant, la voiture ne tousse plus et ne cale plus, j'ai enfin trouvé la cause de ses tracas apparu 8 mois auparavant. Je repars et me rapproche tout doucement de Panama en allant surfer sur Internet de ville en ville. Sur un autre lieu de bivouac je me réveille encore entouré d'oiseaux intéressants. J'arrive finalement de nuit dans la capitale alors je dors sur un nouveau lieu de bivouac en bordure de la ville. Je m'étais inscrit dans un groupe de messagerie de google (consacré à l'Amérique du Nord) et avais envoyé un e-mail global aux membres pour savoir si quelqu'un savait comment faire pour traverser jusqu'en Colombie. J'ai eu plusieurs réponses dont une très précise, un véritable compte rendu d'un passage effectué une semaine plus tôt. Je m'en inspirerai grandement mais je vous raconterai cela dans une prochaine nouvelle car ce fut assez long et plein de rebondissements. Costa Rica - par monTdM le 21/04/2016 Honduras, fin du Guatemala, Salvador et Nicaragua - par monTdM le 25/03/2016 Belize et début du Guatemala - par monTdM le 09/03/2016
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